Adishatz

"... Mais je m'en vais, pardon, je ne peux faire attendre :

Vous voyez, le rayon de lune vient me prendre !

... Je ne veux pas que vous pleuriez..."

                                          Cyrano de Bergerac  - Edmond Rostand

Avec la même pudeur et le même courage que cet autre Gascon, Denis nous a quitté hier.

Vous pourrez rendre hommage à Denis, son épouse et ses mousquetaires lors de la cérémonie qui aura lieu ce mercredi 16 mars 2011 à 10 heures au crématorium de Cornebarrieu.

Comments

[Marie Galés]

Voila qu'au détour d'un message qui renvoit vers ce blog j'apprends cette nouvelle. Alors même si cela fait longtemps que nous n'avons pas échangé de nouvelles, je vous envoie toutes mes pensées.


Et je crois en l'amour que vous partagez tous pour avancer avec force.


Avec toute mon amitié


Marie

[PLAS VIRGINIE]

Les mots me manquent ... une pensée pour toi Denis et plein de courage à Carole et à tes mousquetaires.

[le chef de gare de la voie Ferré]

Je garde le pseudo qui résultait d'une de tes facéties,  Denis, que j'avais reprise à mon compte. Tu aimais jouer. Tu rendais agréables la gravité et le courage. Je t'ai relu,
lundi 14, à l'annonce de ton départ. Mais, je le sais,je suis de ceux que tu vas encore accompagner.  Merci Denis Sigur. Si je te tutoies, alors que je ne t'ai vu qu'une seule fois, à
la Librairie L'Entre-deux-Noirs, en 2009, c'est si tu me le permets, cher Denis, pour cette route à poursuivre, ensemble.

[Sand]

Les mots me manquent... C'est dur..


Reposes en paix


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[Philippe Leroyer]

Il y a des nouvelels qui vous consternent bien plus que d'autre. Lors de notre rencontre pour préparer l'atelier d'écriture qu'il a mené à Montgiscard, en quelques mots échangés, j'ai décoiuvert
en Denis une personnalité profondément humaine et attentive aux autres. Son animation ensuite a plongé dans un extrème bonheur tous ceux qui y ont participé. Denis, bien que ne l'ayant connu que
furtivement, va profondément me manquer. Il est des êtres qui vous illuminent par leur seule présente. Il en était un des rares.


Philippe Leroyer